
I don't need a wake-up call (19 min)
Date de sortie : Prévue pour 2025
Genre : Fiction / Drame
Réalisateur : Avel Arcaro
Bande originale : Tom Zydoc - THE DARK MATTER
Visa d'exploitation n° 164454
Lighting Picture Production & Blackout media présentent Un film de Avel Arcaro Baudy Avel Arcaro Frederik Del Monte Patricia Boulogne
Produit par Christophe Sivager & Avel Arcaro Directeur de la photographie William Girard Cheffe Décoratrice Astrid Lagarde Aide à la direction d’acteurs Joanna Mamoraza Natalya Beliaeff Starov Montage Avel Arcaro Musique de Tom Zydok Superviseur musical et musique additionnelle The Dark Matter
Producteur exécutif Joseph Stopin Ecrit et réalisé par Avel Arcaro
©2025 Lighting Picture production & blackout media sound concept
Synopsis du film
Henry est un jeune prostitué en proie à des fantasmes qu’il peine de plus en plus à endosser. S’il parvient à les vivre, il en souffre assurément. Il vit à côté de cela une relation ambiguë avec Marlène, femme de plus de trente ans son aîné, à l’allure fantasque et éthérée.
Lorsqu’un soir encore, Henry semble se dérober sous le poids de ses désirs, Marlène vient à sa rencontre. Tiraillé entre l’urgence de ses pulsions et la crainte que celles-ci ne l’envoient dans un nouveau marasme, Henry ne sait quelle voie emprunter.
Suivre Marlène l’épargnerait-il ou ne serait-ce que retarder l’assaut de ses envies. Sinon, serait-elle encore la plus tard, si jamais il la laissait là, seule, sur ce trottoir ?
Note d’intention
Le mot du réalisateur
I don’t need a wake-up call est je crois le premier scénario que j’ai écrit en ayant la ferme intention de le réaliser. Initialement intitulé Hustler, il est le premier dont je savais qu’il n’allait pas en rester qu’un écrit personnel. J’ai ressenti une réelle envie, et je crois aussi une vraie potentialité, à le partager.
Ayant finalisé une première version de ce scénario plutôt jeune, avant même le début de mes études, il est fort probable, si ce n’est absolument certain, que mes envies, les fondations et l’intention même du film aient considérablement changé avec le temps.
Il était d’ores et déjà question d’un jeune homme se prostituant, d’une relation étrange avec une femme plus mûre, et d’un certain
mal-être, mais les envies des personnages, leurs problématiques, ont largement évolué au fil des réécritures. Ce qui a toujours
sous-tendu ce projet, et qui s’est affirmé et même je dirais imposé à moi au fur et à mesure de son écriture, c’est l’exploration du fantasme. C’est ce qui meut les deux personnages tout au long de leur parcours. C’est autour de cette idée du fantasme que gravitent les directions de réécriture.
Ce qui a toujours sous-tendu ce projet, et qui s’est affirmé et même je dirais imposé à moi au fur et à mesure de son écriture, c’est l’exploration du fantasme. C’est ce qui meut les deux personnages tout au long de leur parcours. C’est autour de cette idée du fantasme que gravitent les directions de réécriture.
Le personnage principal, Henry est un jeune homme en proie à des envies, ici sexuelles, mais qui je pense dépassent même ce cadre-là, qu’il peine à assumer et qu’il préférerait voir disparaître. C’est aussi un personnage qui, malgré tout, est animé par un fort côté aventureux, téméraire, effronté, voire presque imprudent, insensé, casse-cou. Henry touche du doigt ses fantasmes et, non sans peine, les réalise en tout ou en partie. Ce n’est pour le coup pas le cas du personnage féminin qui l’accompagne, Marlène. Plus réservée, ou même bridée, les envies qu’elle peut éprouver se voient réfrénées.
Leurs envies inassouvies respectives sont sans doute ce qui rend le lien, cette attractivité entre les personnages, puissant. Le ou les conflits qui naissent entre eux viennent de la divergence dans leur manière de les expérimenter.
Il me semble que toutes mes réécritures ont été absolument imprégnées de ces idées de fantasmes refoulés. C’est, je crois, aussi ce qui doit transpirer du film et ce qui doit atteindre le public : un sentiment d’envie, un désir refreiné, tabou.
Pour ce faire, il est nécessaire que la mise en scène soit construite et guidée en s’ancrant sur les mêmes fondements. Le scénario
lui-même n’ayant pas prétention à un réalisme, ou encore moins à un naturalisme, il est d’autant plus naturel que la mise en scène aille dans ce même sens. Elle est empreinte de fantaisie, voire même de kitsch parfois. Il y a de ma part une volonté de sublimer malgré l’âpreté du sujet. En quelque sorte, le film doit purement ressembler à un fantasme.
Tout élément du film doit être réfléchi dans ce sens ; qu’il s’agisse de l’image que j’ai voulue plutôt sombre, contrastée, saturée, ornée de brillance ; des costumes qui répondent assez méticuleusement à ces mêmes adjectifs. Bien sûr, la décoration, les lieux de tournage choisis, ce tunnel, l’appartement presque étouffant, beaucoup d’objets ainsi que plusieurs motifs présents dans le film vont dans la même direction…
Les réflexions de mise en scène entrant pour moi en jeu avant la fin de l’écriture, une envie de mise en scène assez majeure a alors émergé à un certain stade du retravail du scénario : le split-screen. Ce choix s’est là encore presque imposé, lorsque j’ai réfléchi à cette idée d’opposition entre envie/répulsion, fantasme et dégoût. Cette espèce de légère schizophrénie qui habite le personnage est venue consacrer ce choix de split-screen. J’avais l’envie d’une sorte de double réalité. Il était cependant important pour moi de ne pas scinder drastiquement entre les deux écrans l’idée d’une éalité face à une rêverie. Aucun des deux côtés de l’écran n’est plus vrai que l’autre, aucun n’est le fruit d’une imagination et l’autre le produit de la réalité. Il y a pour moi comme un double film, deux réalités, qui se questionnent l’une l’autre, sans pour autant vouloir donner une résolution ou, encore moins, une morale. Elles se répondent simplement et existent conjointement.
Cette idée, pour moi, renforce le sens du film, va de pair avec le fondement de mon histoire. Ce doute permanent, cette envie/répulsion dans laquelle le personnage principal, et plus généralement même les personnages, évoluent, a confirmé le split-screen comme un élément essentiel et logique à la réalisation de mon film.
Toutes ces idées servent pour moi un même but, plonger dans l’idée du désir, de la répression, du conflit intérieur. Je ne cherche aucune réponse, les interrogations se présentent là, à l’écran, naviguent à travers les zones floues de l’âme humaine.
Note de production
Le mot du producteur
“I Don’t Need a Wake-Up Call” est un projet qui a immédiatement attiré mon attention, tant par son aspect narratif que visuel. Malgré la sobriété de sa continuité scénaristique, l’histoire puise tout son sens dans les non-dits et la profondeur tourmentée de ses personnages. Le sujet, sombre, pathétique et ambigu, reste encore tabou dans notre société actuelle, bien qu’il touche un grand nombre de jeunes hommes et femmes.
Le personnage principal, incarné par Avel Arcaro, parvient à captiver le spectateur par son cynisme et son désenchantement. À travers son regard mélancolique, il reflète une génération qui ose briser les barrières imposées par la société pour explorer ses fantasmes et assumer ses désirs. Ce récit met en lumière une quête d’identité et de liberté, où les jeunes générations s’émancipent des normes sociales pour affirmer leur singularité. Cette démarche résonne particulièrement à l’heure où notre société questionne ses valeurs, ses repères et les tabous qui en découlent.
Notre ligne éditoriale, qui consiste à produire des œuvres porteuses de messages forts et capables d’interpeller le spectateur, trouve ici une parfaite résonance. En échangeant longuement avec l’auteur-réalisateur, j’ai immédiatement perçu et compris ses intentions narratives, visuelles et sonores.
J’ai été particulièrement intrigué par son choix audacieux d’utiliser la technique du «splitscreen», une approche originale qui permet de confronter plusieurs points de vue et d’explorer des alternatives au fil narratif principal. Son désir de soigner la photographie et l’environnement sonore pour créer une atmosphère immersive m’a convaincu de la singularité de ce projet.
Nous estimons la finalisation du film entre mars et avril 2025 et mettrons tout en œuvre pour qu’il puisse être présenté avant la fin de l’année à des festivals nationaux et internationaux de court-métrage. Notre objectif principal est d’obtenir une sélection en festival afin de faire vivre le film et de maximiser sa visibilité.
Avel Arcaro est un jeune auteur-réalisateur prometteur. Le travail déjà accompli sur ce projet témoigne de son talent et de sa vision artistique affirmée. Nous sommes enthousiastes à l’idée de l’accompagner dans cette aventure et de mettre tout en œuvre pour porter ce projet ambitieux aussi loin que possible, avec conviction et passion.

équipe
Production déléguée & exécutive
Chrisophe Sivager
Directeur de production
Avel Arcaro
Co-producteur délégué
Joseph Stopin
Charger de production – Production exécutive
Cette œuvre est protégée par un ©copyright et enregistrée au Centre national de la cinématographie (CNC), au Registre du cinéma et de l’audiovisuel (registre public), sous le numéro : 164454. Les images sont soumises à des droits d’auteur et demeurent la propriété de Lighting Picture Production et de Monsieur Avel Arcaro, propriétaire de l’œuvre et de l’idée originale.

équipe
Technique / Artistique
Avel Arcaro
Auteur - Réalisateur / Monteur
William Girard
Chef Opérateur / Étalonneur
Joanna Mamoraza
Scripte
Astrid Lagarde
Cheffe Décoratrice
Tom Zydok
Compositeur
The Dark Matter
Superviseur musical / Sound designer / Compositeur de la musique additionnelle

WAKE (27 min)
Date de sortie : Prévue pour 2025
Genre : Science-fiction / Thriller / Musical
Réalisateur : Christophe Sivager
Bande originale : THE DARK MATTER
Lien YouTube : Lighting picture production cinéma
Visa d'exploitation n° 161.807
WAKE (27 min)
Date de sortie mini-série : Prévue pour 2025
Genre : Science-fiction / Thriller / Musical
Réalisateur : Christophe Sivager
Bande oroginale : THE DARK MATTER
Lien YouTube : Lighting picture production cinéma


Lighting picture production présente Wake . Un film de christophe sivager . Joseph Stopin . Joyce Guezo . Adriana Dagher . hervé carrascosa . Valentin Clair
Tom Maury‐Pavan . Mendrika Andriamalala . Effets spéciaux Christophe sivager . Consultant effets spéciaux 3D Nicolas girard . Compositing et animation Jérémy Sivager
architecte 3D Akira kimojo . Modélisateur 3D Anthony Goulet . Designer sonore Sébastien frank . Mixeurs son Nicolas BERTAUlt . Jérémy Sivager . Boris Daubert . Producteurs exécutifs Christophe Sivager . Joseph stopin . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques lighting picture SFX laboratoire . Matériel image et machinerie Puzzle Vidéo
Studio de mixage et effets sonores
blackout studio (paris) . Une production lighting picture production blackout media ©2024
Trailer officiel
Galerie photo de la finale
(Coliseum international film festival Rome / Italie)
Lighting picture production présente WAKE . Un film de CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . JOYCE GUEZO . ADRIANA DAGHER . HERVÉ CARRASCOSA . VALENTIN CLAIR . TOM MAURY‐PAVAN . MENDRIKA ANDRIAMALALA . Effets spéciaux CHRISTOPHE SIVAGER . Consultant effets spéciaux 3D NICOLAS GIRARD . Compositing et animation JÉRÉMY SIVAGER . architecte 3D AKIRA KIMOJO . Modélisateur 3D ANTHONY GOULET . Designer sonore SÉBASTIEN FRANK . Mixer son NICOLAS BERTAULT . JÉRÉMY SIVAGER . BORIS DAUBERT . Producteurs exécutifs CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques LIGHTING PICTURE SFX LABORATOIRE . Matériel image et machinerie PUZZLE VIDÉO . Studio de mixage et effets sonores BLACKOUT STUDIO (PARIS) . Une production lighting picture production blackout media ©2023
Galerie photo de la finale
(Coliseum international film festival Rome / Italie)


Trailer officiel
Trailer officiel
Trailer officiel
TRAILER OFFICIEL
Lighting picture production présente WAKE . Un film de CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . JOYCE GUEZO . ADRIANA DAGHER . HERVÉ CARRASCOSA . VALENTIN CLAIR . TOM MAURY‐PAVAN . MENDRIKA ANDRIAMALALA . Effets spéciaux CHRISTOPHE SIVAGER . Consultant effets spéciaux 3D NICOLAS GIRARD . Compositing et animation JÉRÉMY SIVAGER . architecte 3D AKIRA KIMOJO . Modélisateur 3D ANTHONY GOULET . Designer sonore SÉBASTIEN FRANK . Mixer son NICOLAS BERTAULT . JÉRÉMY SIVAGER . BORIS DAUBERT . Producteurs exécutifs CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques LIGHTING PICTURE SFX LABORATOIRE . Matériel image et machinerie PUZZLE VIDÉO . Studio de mixage et effets sonores BLACKOUT STUDIO (PARIS) . Une production lighting picture production blackout media ©2023
Galerie photo de la finale
(Coliseum international film festival Rome / Italie)
Galerie photo de la finale
(Coliseum international film festival Rome / Italie)
SYNOPSIS DU FILM
Dans un futur proche, à une époque où l’humanité dépend entièrement de l’intelligence artificielle où les machines parlent et réfléchissent à la place de l’homme, un jeune homme de 23 ans, Julien Guerros, se réveille comme chaque matin sous le clairon de son meilleur ami, l’iFly X Pro, un robot qui chaque jour s’occupe de tout pour lui " faciliter " son quotidien. Mais ce matin-là, alors que Julien sort de son appartement accompagné de son robot pour rejoindre l’université, il se retrouve nez à nez avec " quelque chose " qui va faire basculer son quotidien monotone dans une chasse à l’homme ou la survie deviendra son ultime préoccupation. Dans sa fuite et son acharnement à rester en vie, il va alors découvrir qu’un immense projet s’est progressivement et silencieusement mis en place en secret.
NOTE D’INTENTION
Comme son titre l’indique « WAKE » est une histoire où notre société est à l’aube d’un basculement technologique décisif pour l’humanité. Pour cause, l’intelligence artificielle, est une chose nouvelle qui est en train de se réveiller, qui prend de plus en plus de place dans la vie des hommes sur terre et qui, petit à petit, s’immisce dans notre quotidien, dans notre culture, dans notre façon de procéder. A travers ce film, l’auteur dresse le constat d’une société moderne ou la technologie s’est développée trop rapidement et a, de ce fait, dévoilé ses effets pervers, la violence, l’agressivité et la dépendance à cette même technologie. L’idée du film est de transposer une part factuelle de notre actualité dans un univers anticipé sur la base de cette même actualité. Un monde où l’issue émanant de dérives pourrait être un scénario envisageable. Le spectateur est invité à comprendre que la fin du film est une alternative sur la question de sa propre existence en tant qu’être humain. Enfin comme son nom l’indique, « WAKE » est un film qui sonne comme un réveil après un mauvais rêve…
On ne peut pas parler du film sans évoquer la place prédominante qu’occupe la musique dans ce projet. Tout d’abord parce que l’auteur de l’histoire et le musicien qui a réalisé la bande originale du film est la même personne. D’ailleurs, avant de devenir un film, « WAKE » était un album musical. Pour l’anecdote, la condition pour que le film soit produit était que les images soient tournées et montées au service de la bande-son originale. Ce qui est le cas. Celui-ci raconte son histoire en utilisant deux points de vue prédominants. Celui des machines et le dialogue offert par la musique qui accompagne les images. L’intégralité du concept sonore repose sur la composition d’une musique électro-orchestrale. Un mélange de sonorités électroniques avec des sons issus d’un orchestre, le tout subtilement mélangé pour offrir un cocktail sonore coloré, puissant et riche en dynamisme. Si le film vous parle, souvenez-vous de cette phrase dite par l’auteur et le compositeur de « WAKE » : « Faire un clip sur 40 minutes de musique, c’est impossible, à ce stade cela s’appelle un film. Alors pourquoi ne pas oublier le clip et se lancer dans la réalisation d’un film qui parlerait de l’essence même de l’Album ».
Quelques inspirations pour la réalisation et la direction artistique du film : Vous ne louperez sans doute pas un fort clin d’œil à « La mouche » de David Cronenberg, qui intervient au niveau de la musique dès la première seconde de l’ouverture du film. Il y a de toute évidence une inspiration Kubrickéenne sur la façon de traiter le rapport entre le montage des images et la musique, notamment avec la référence du film « 2001 l’odyssée de l’espace » sortie en 1969. Enfin, une des séquences de la fin a été inspirée du film « Abyss » de James Cameron (1989) pour son habileté et son génie à délivrer un message poignant de manière simple et particulièrement efficace après plus de deux heures d’effets spéciaux.
En conclusion, on peut dire que « WAKE » est un concept visuel et sonore. La science-fiction offre l’opportunité d’ouvrir un champ philosophique plus large sur notre condition d’être humain, sur notre société et nos agissements. Il est alors possible d’offrir au public un spectacle immersif visuel et sonore tout en l’encourageant à sortir de la salle avec de nombreuses questions. L’ensemble des créateurs du projet pense unanimement qu’il est plus agréable de réfléchir à toutes ces questions à travers une œuvre artistique qui n’a pour vocation que de suggérer. Libre à chacun d’en faire son interprétation et d’en tirer ce qu’il souhaite. L’important est que le spectateur ressente des émotions.

ÉQUIPE TECHNIQUE / ARTISTES

THE DARK MATTER
Compositeur de la bande originale

COLINE MAYLIN
Première assistante réalisateur

THÉO LAURENT
Second assistant réalisateur

DAPHNÉ PAROT
Artiste maquilleuse et maquilleuse SFX

FIONA JURKEW
Maquilleuse
SÉBASTIEN FRANK . CAMILLE DEJONG . BORIS DAUBERT
Sound designers / Mixeurs son
ANTHONY GOULET . AKIRA KIMOJO
Architecte / Modélisateur 3D
JÉRÉMY SIVAGER
Compositing / Animation / étalonnage film
CHRISTOPHE SIVAGER
Cadrage / Montage / Photographie
LA MUSIQUE DU FILM
Sa place dans le film :
La bande originale du film composée et arrangée par l’artiste « THE DARK MATTER » à quasiment " le premier rôle " dans le film. En effet, le story-board et les images ont été conçues pour se mettre au service de la musique. Chaque séquence a été pensée pour correspondre et coller à un ou plusieurs titres de l’album « WAKE » qui a été réalisé et finalisé avant la mise en production du projet. En tout, cinq titres ont été choisis pour intervenir dans la bande originale du film. Le compositeur à librement réadapté chaque titre pour qu’ils aient une consonance plus cinématographique. Mais le travail sur la bande originale ne s’arrête pas là. Si ces cinq titres gardent leur style très électronique, le compositeur, apporte en enregistrant de la musique additionnelle, une dimension plus dense avec des sonorités orchestrales mélangées aux synthétiseurs.
Le point de vue musical :
La bande originale de « WAKE » est purement narrative. Elle raconte l’histoire en même temps que les images et indique au spectateur de manière directe ce qu’il se passe. Elle a également pour vocation de donner vie aux prises de vues et à leurs insuffler une âme. Elle permet au spectateur de ressentir ces nombreuses petites choses qu’il ne peut pas voir, mais qu’il peut interpréter grâce à elle. On peut considérer dans le cas de « WAKE » que la musique parle là où le dialogue est absent. On constate en effet que les personnages humains ne parlent pas. Il n’y a que les machines qui ont droit à la parole. La musique, en quelque sorte, remplace le dialogue du personnage.
Un concept sonore :
La bande originale de « WAKE » se démarque via la passerelle que fait le compositeur pour passer du son électronique au son orchestral. Si dans de nombreux cas celle-ci se fait par un morphing entre le synthétiseur et l’intervention des cordes et des cuivres, il arrive que ce passage survienne brutalement avec pour parti pris, un choc de sonorités.
Le compositeur :
THE DARK MATTER est initialement un compositeur de musique éléctro-funk et éléctro-disco. Passionné et fasciné depuis l’enfance par la musique de film, il puise son inspiration dans les bandes originales de compositeurs classiques comme, John Williams, Lalo Shiffrin ou encore Jerry Goldsmith en passant par Howard Shore, sans oublier Bernard Hermann. Néanmoins, il se passionne également pour des compositeurs plus avant-gardistes et qui utilisent déjà la musique électronique comme outil de composition depuis de nombreuses années comme John Carpenter et Hans Zimmer, entre autre. En 2015, il s’essaye officiellement à cette discipline en réalisant une première bande originale pour un court métrage historique. Il réalise par la suite une musique pour un documentaire animalier en 2018 avant de s’attaquer à l’album « WAKE » qui deviendra ensuite le film. Le titre de l’album « WAKE » a pour signification l’aboutissement de la recherche de son style musical et de l’éveil créatif. Il s’apercevra très vite par la suite que le titre « WAKE » colle parfaitement avec l’histoire et la dimension philosophique de l’album.
Synopsis du film
Dans un futur proche, à une époque où l’humanité dépend entièrement de l’intelligence artificielle où les machines parlent et réfléchissent à la place de l’homme, un jeune homme de 23 ans, Julien Guerros, se réveille comme chaque matin sous le clairon de son meilleur ami, l’iFly X Pro, un robot qui chaque jour s’occupe de tout pour lui " faciliter " son quotidien. Mais ce matin-là, alors que Julien sort de son appartement accompagné de son robot pour rejoindre l’université, il se retrouve nez à nez avec " quelque chose " qui va faire basculer son quotidien monotone dans une chasse à l’homme ou la survie deviendra son ultime préoccupation. Dans sa fuite et son acharnement à rester en vie, il va alors découvrir qu’un immense projet s’est progressivement et silencieusement mis en place en secret.
Note d’intention
Comme son titre l’indique « WAKE » est une histoire où notre société est à l’aube d’un basculement technologique décisif pour l’humanité. Pour cause, l’intelligence artificielle, est une chose nouvelle qui est en train de se réveiller, qui prend de plus en plus de place dans la vie des hommes sur terre et qui, petit à petit, s’immisce dans notre quotidien, dans notre culture, dans notre façon de procéder. A travers ce film, l’auteur dresse le constat d’une société moderne ou la technologie s’est développée trop rapidement et a, de ce fait, dévoilé ses effets pervers, la violence, l’agressivité et la dépendance à cette même technologie. L’idée du film est de transposer une part factuelle de notre actualité dans un univers anticipé sur la base de cette même actualité. Un monde où l’issue émanant de dérives pourrait être un scénario envisageable. Le spectateur est invité à comprendre que la fin du film est une alternative sur la question de sa propre existence en tant qu’être humain. Enfin comme son nom l’indique, « WAKE » est un film qui sonne comme un réveil après un mauvais rêve…
On ne peut pas parler du film sans évoquer la place prédominante qu’occupe la musique dans ce projet. Tout d’abord parce que l’auteur de l’histoire et le musicien qui a réalisé la bande originale du film est la même personne. D’ailleurs, avant de devenir un film, « WAKE » était un album musical. Pour l’anecdote, la condition pour que le film soit produit était que les images soient tournées et montées au service de la bande-son originale. Ce qui est le cas. Celui-ci raconte son histoire en utilisant deux points de vue prédominants. Celui des machines et le dialogue offert par la musique qui accompagne les images. L’intégralité du concept sonore repose sur la composition d’une musique électro-orchestrale. Un mélange de sonorités électroniques avec des sons issus d’un orchestre, le tout subtilement mélangé pour offrir un cocktail sonore coloré, puissant et riche en dynamisme. Si le film vous parle, souvenez-vous de cette phrase dite par l’auteur et le compositeur de « WAKE » : « Faire un clip sur 40 minutes de musique, c’est impossible, à ce stade cela s’appelle un film. Alors pourquoi ne pas oublier le clip et se lancer dans la réalisation d’un film qui parlerait de l’essence même de l’Album ».
Quelques inspirations pour la réalisation et la direction artistique du film : Vous ne louperez sans doute pas un fort clin d’œil à « La mouche » de David Cronenberg, qui intervient au niveau de la musique dès la première seconde de l’ouverture du film. Il y a de toute évidence une inspiration Kubrickéenne sur la façon de traiter le rapport entre le montage des images et la musique, notamment avec la référence du film « 2001 l’odyssée de l’espace » sortie en 1969. Enfin, une des séquences de la fin a été inspirée du film « Abyss » de James Cameron (1989) pour son habileté et son génie à délivrer un message poignant de manière simple et particulièrement efficace après plus de deux heures d’effets spéciaux.
En conclusion, on peut dire que « WAKE » est un concept visuel et sonore. La science-fiction offre l’opportunité d’ouvrir un champ philosophique plus large sur notre condition d’être humain, sur notre société et nos agissements. Il est alors possible d’offrir au public un spectacle immersif visuel et sonore tout en l’encourageant à sortir de la salle avec de nombreuses questions. L’ensemble des créateurs du projet pense unanimement qu’il est plus agréable de réfléchir à toutes ces questions à travers une œuvre artistique qui n’a pour vocation que de suggérer. Libre à chacun d’en faire son interprétation et d’en tirer ce qu’il souhaite. L’important est que le spectateur
ressente des émotions.

équipe technique / artistes

THE DARK MATTER
Compositeur de la bande originale

Coline Maylin
Première assistante réalisateur

Théo Laurent
Second assistant réalisateur

Daphné Parot
Artiste maquilleuse et maquilleuse SFX

Fiona Jurkew
Maquilleuse
Sébastien Frank . Camille Dejong . Boris Daubert
Sound designers / Mixeurs son
Anthony Goulet . AKIRA kimojo
Architecte / Modélisateur 3D
Jérémy Sivager
Compositing / Animation / étalonnage film
Christophe Sivager
Cadrage / Montage / Photographie
Cette œuvre est protégée par un ©copyright et enregistrée au Centre national de la cinématographie (CNC), au Registre du cinéma et de l’audiovisuel (registre public), sous le numéro : 161.807 Les images sont soumises à des droits d’auteur et demeurent la propriété de Lighting Picture Production et de Monsieur Christophe Sivager, propriétaire de l’œuvre et de l’idée originale.

la musique du film
Sa place dans le film :
La bande originale du film composée et arrangée par l’artiste « THE DARK MATTER » à quasiment " le premier rôle " dans le film. En effet, le story-board et les images ont été conçues pour se mettre au service de la musique. Chaque séquence a été pensée pour correspondre et coller à un ou plusieurs titres de l’album « WAKE » qui a été réalisé et finalisé avant la mise en production du projet. En tout, cinq titres ont été choisis pour intervenir dans la bande originale du film. Le compositeur à librement réadapté chaque titre pour qu’ils aient une consonance plus cinématographique. Mais le travail sur la bande originale ne s’arrête pas là. Si ces cinq titres gardent leur style très électronique, le compositeur, apporte en enregistrant de la musique additionnelle, une dimension plus dense avec des sonorités orchestrales mélangées aux synthétiseurs.
Le point de vue musical :
La bande originale de « WAKE » est purement narrative. Elle raconte l’histoire en même temps que les images et indique au spectateur de manière directe ce qu’il se passe. Elle a également pour vocation de donner vie aux prises de vues et à leurs insuffler une âme. Elle permet au spectateur de ressentir ces nombreuses petites choses qu’il ne peut pas voir, mais qu’il peut interpréter grâce à elle. On peut considérer dans le cas de « WAKE » que la musique parle là où le dialogue est absent. On constate en effet que les personnages humains ne parlent pas. Il n’y a que les machines qui ont droit à la parole. La musique, en quelque sorte, remplace le dialogue du personnage.
Un concept sonore :
La bande originale de « WAKE » se démarque via la passerelle que fait le compositeur pour passer du son électronique au son orchestral. Si dans de nombreux cas celle-ci se fait par un morphing entre le synthétiseur et l’intervention des cordes et des cuivres, il arrive que ce passage survienne brutalement avec pour parti pris, un choc de sonorités.
Le compositeur :
THE DARK MATTER est initialement un compositeur de musique éléctro-funk et éléctro-disco. Passionné et fasciné depuis l’enfance par la musique de film, il puise son inspiration dans les bandes originales de compositeurs classiques comme, John Williams, Lalo Shiffrin ou encore Jerry Goldsmith en passant par Howard Shore, sans oublier Bernard Hermann. Néanmoins, il se passionne également pour des compositeurs plus avant-gardistes et qui utilisent déjà la musique électronique comme outil de composition depuis de nombreuses années comme John Carpenter et Hans Zimmer, entre autre. En 2015, il s’essaye officiellement à cette discipline en réalisant une première bande originale pour un court métrage historique. Il réalise par la suite une musique pour un documentaire animalier en 2018 avant de s’attaquer à l’album « WAKE » qui deviendra ensuite le film. Le titre de l’album « WAKE » a pour signification l’aboutissement de la recherche de son style musical et de l’éveil créatif. Il s’apercevra très vite par la suite que le titre « WAKE » colle parfaitement avec l’histoire et la dimension philosophique de l’album.

It comes from the Sky
Production :
Lighting Picture Production & Blackout media
Auteur - Réalisateur :
Christophe Sivager
Musique :
THE DARK MATTER
Genre :
Drame / Science fiction
Année de production :
Prévue pour 2026 - 2027
Synopsis :
Clara et Maxime, un jeune couple très amoureux, roulent sur une route déserte au cœur des Pyrénées orientales lorsqu’à la tombée du soir, ils sont témoins d’un phénomène inhabituel : d’étranges lumières illuminent le ciel, effectuant des mouvements et des rotations défiant toutes les lois de la physique connues. Curieux, le couple décide de s’arrêter pour observer le phénomène. Mais très vite, ils réalisent que ces lumières colorées, clignotantes, qui rebondissent de haut en bas et de droite à gauche à une vitesse fulgurante, semblent grossir… et se rapprocher. Ce qui n’était au départ qu’un spectacle fascinant devient peu à peu une source d’angoisse. Pris d’un mauvais pressentiment, ils reprennent la route en hâte pour rentrer chez eux. Mais ce soir-là, sur le chemin du retour, ils sont loin d’imaginer qu’une rencontre terrifiante les attend. Le couple va vivre une expérience qui bouleversera à jamais leur vie.